J’ai commencé à danser lors de ma première semaine de maladie dans un travail où je subissais du harcèlement moral. Danser en donnant la main à des personnes bienveillantes m’a ré-accueillie dans le monde des humains, de la tendresse, m’a redonné un corps… C’était génial… Depuis j’ai été licenciée, je monte mes propres projets, je fais énormément de musique…
Je ne viens plus danser pour le moment parce que j’ai investi d’autres choses et que là où j’en suis, la Biodanza semble m’avoir fait faire les pas qu’elle avait à me faire faire. J’y reviendrai sans doute plus tard.
Chantal Anderlecht A dansé à Rhode-Saint-Genèse
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