Faut-il « perdre le goût de vivre » pour « retrouver le goût de vivre » ?
Ou plus simplement, pouvons-nous « être le goût de vivre? ».
Et pourquoi pas danser le goût de vivre, oser sauter d’une saveur à l’autre, ouvrir les bras à l’abondance de sensations et d’expériences offertes par la vie, à chaque instant, généreusement…
Entre perceptions corporelles, émotionnelles, toujours fraîches, nouvelles, intenses ou subtiles, libres de toutes pensées interprétatives, naviguons du son au silence, du geste à la tranquillité, de la relation à l’intimité, de l’action fougueuse à le sensibilité à fleur de peau…